Traduction dialectale de « Histoire de Blondine, de Bonne Biche et de Beau Minon » de la Comtesse de Ségur

نوع المستند : المقالة الأصلية

المستخلص

    Une partie de mon entourage (en Egypte) est composée de jeunes mamans m’ayant relaté leurs difficultés à faire de la lecture de contes à leurs enfants. Cette difficulté provient notamment de la façon dont les traductions sont réalisées. Cela m’a donc conduite à me demander si la facilitation de la lecture de contes pour enfants en dialecte égyptien, ne serait pas un sujet sur lequel je pourrais me pencher.
   La pertinence de cette problématique s’est d’ailleurs confirmée au cours des travaux préparatoires de la présente étude : différents chercheurs et psychanalystes démontrent l’importance du conte dans le développement de l’enfant : la concentration, l’écoute, le développement de l’imaginaire, l’estime de soi…  En Egypte, la plupart des contes sont traduits en arabe littéraire rendant ainsi leurs lectures laborieuses. Je voulais donc à travers mon travail de traduction, faciliter l’interaction entre le parent et l’enfant.
   C’est en se fondant sur l’abondante bibliographie consacrée à la matière, et tout particulièrement sur « L’importance de la tradition orale pour les enfants : cas des pays du Sahel » de Mbathio Sall[1], qu’il fut possible de déterminer si on peut faciliter la lecture de conte pour les enfants en dialecte égyptien.
   L’exploitation de ces sources devait permettre de répondre à une série d’interrogations inhérentes au sujet intitulé « Traduction dialectale de l’histoire de Blondine, de Bonne Biche et de Beau Minon » de la comtesse de Ségur, en dialecte égyptien.
   La nouveauté cette fois-ci était de traduire le texte source en arabe dialectale. Nouveau domaine dont le premier bénéficiaire est sans doute les enfants, qui ne trouvent pas forcément de plaisir à écouter ou bien à lire certains contes en arabes littéraire soutenue



[1] « L’importance de la tradition orale pour les enfants : cas des pays du Sahel. »
Dans cet article, publié en 1999 lors de 65th IFLA Council and General Conférence à Bangkok par Mbathio Sall de la Bibliothèque lecture Développement de Dakar, Sénégal, il question du rôle de la tradition orale dans la partie sahélienne de l’Afrique. L’auteur y a développé deux grandes lignes : « La tradition orale en Afrique » et ensuite Les enfants d’Afrique sahélienne et les traditions orales. Dans la première partie il fait l’inventaire des genres oraux en Afrique en essayant une définition de chaque genre. Il a ensuite donné les canaux de transmission de la tradition orale. Ces canaux ne se résument en deux grands points selon l’auteur : le cadre familial et les professionnels de la parole……. Dans la seconde partie, l’auteur décrit l’attitude de la jeunesse à l’égard de la tradition……  Les séances de contes sont ainsi remplacées par des séances d’écoute de nouveaux canaux de communication tels que la télévision, le cinéma, la musique moderne….  Pour finir, l’article fait mettre la tradition orale à côté de la recherche scientifique comme dans un rêve impossible. Il montre comment l’oralité pourrait être sauvegardée, renforcer par la recherche scientifique et les nouvelles technologies qui sont à ce jour son pire cauchemar. …..)

نقاط رئيسية

I-Introduction

L’objectif pédagogique des contes :

L’influence des contes sur l’esprit d’un enfant :

Maison d’édition

II-Choix de sujet

Présentation de l’histoire

III- Stratégie de traduction

V- Conclusion:

IV-Projet technique

VI-Bibliographie 

الموضوعات الرئيسية


  • Bibliographie 

    -Corpus :

    • Comtesse de SÉGUR : « Nouveaux contes de fées pour les petits enfants », « Histoire de Blondine, et de Bonne Biche et de Beau Minon »,La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 76 : version 1.01.

     

    -Ouvrages :

    • Ballard (Michel): "La traduction contact de langues et de cultures 2", Paris, Artois Presses Université, 2006.
    • C. Lombez, R. Von Kulessa, "De la traduction et des transferts culturels", Paris, 2007, Harmattan
    • Bettelheim, B. (1976), « Psychanalyse des contes de fées. » Paris : Editions Robert Laffond.

     

    • Dix-neuf classique, « Littérature Francophones », Éditions club des lecteurs d’expression française.

     

    • Daniel Gile, La traduction. La comprendre, l’apprendre, Collection linguistique nouvelle, éditions presse universitaire de France 2005

     

    • Fayol, M. (1985), « Le récit et sa construction ». Paris : Delachaux & Niestlé.

     

    • Jean claude Gémar, « Traduire, ou, L'art d’interpréter », Éditions Presses Universitaires du Québec (3 mai 2000)

     

    • Henri Meschonnic, Poétique de traduire, éditions Verdier 1999

     

     

     

     

    • Louis Jean, Lecarne Jacques, Tabone Eliane, Vercier Bruno, « Les littératures Francophones depuis 1945 », Bordas, Paris,1986.

     

    • Patte, G. (1987), « Laissez-les lire ! ». Paris : Editions ouvrières.

     

    • Piaget, J. (1997). Le langage et la pensée chez l’enfant. Paris : Delachaux & Niestlé.

     

    • Rodari, G. (1997). Grammaire de l’imagination. Paris : Rue du monde.

     

    • Umberto Eco, « Dire presque la même chose », éditions Grasset

     

    -Périodiques et articles de revues :

    • Bremond Claude. « La logique des possibles narratifs. » In : Communications, 8, 1966. Recherches sémiologiques : l’analyse structurale du récit. pp. 60-76.

     

     

     

     

     

    VI-Bibliographie 

    -Corpus :

    • Comtesse de SÉGUR : « Nouveaux contes de fées pour les petits enfants », « Histoire de Blondine, et de Bonne Biche et de Beau Minon »,La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 76 : version 1.01.

     

    -Ouvrages :

    • Ballard (Michel): "La traduction contact de langues et de cultures 2", Paris, Artois Presses Université, 2006.
    • C. Lombez, R. Von Kulessa, "De la traduction et des transferts culturels", Paris, 2007, Harmattan
    • Bettelheim, B. (1976), « Psychanalyse des contes de fées. » Paris : Editions Robert Laffond.

     

    • Dix-neuf classique, « Littérature Francophones », Éditions club des lecteurs d’expression française.

     

    • Daniel Gile, La traduction. La comprendre, l’apprendre, Collection linguistique nouvelle, éditions presse universitaire de France 2005

     

    • Fayol, M. (1985), « Le récit et sa construction ». Paris : Delachaux & Niestlé.

     

    • Jean claude Gémar, « Traduire, ou, L'art d’interpréter », Éditions Presses Universitaires du Québec (3 mai 2000)

     

    • Henri Meschonnic, Poétique de traduire, éditions Verdier 1999

     

     

     

     

    • Louis Jean, Lecarne Jacques, Tabone Eliane, Vercier Bruno, « Les littératures Francophones depuis 1945 », Bordas, Paris,1986.

     

    • Patte, G. (1987), « Laissez-les lire ! ». Paris : Editions ouvrières.

     

    • Piaget, J. (1997). Le langage et la pensée chez l’enfant. Paris : Delachaux & Niestlé.

     

    • Rodari, G. (1997). Grammaire de l’imagination. Paris : Rue du monde.

     

    • Umberto Eco, « Dire presque la même chose », éditions Grasset

     

    -Périodiques et articles de revues :

    • Bremond Claude. « La logique des possibles narratifs. » In : Communications, 8, 1966. Recherches sémiologiques : l’analyse structurale du récit. pp. 60-76.